L’outil qui m’empêche de créer des offres bullshit

Vous connaissez la page blanche ?

Vous devez écrire un contenu, un mail de vente …

Et là… rien. Le néant.

Par quoi commencer un post ? Comment vendre avec un mail ?

Là, vous vous souvenez vaguement d’une conversation, d’un commentaire Insta, d’un email… où un prospect vous avait parlé d’une situation qui le bloquait et ça aurait fait une super accroche pour ce contenu.

Mais impossible de le retrouver !

(Pause : c’est exactement le genre de blocage qu’on débloque en 30 min pendant votre audit offert. 2 priorités claires, plus de temps perdu à chercher quoi dire.)

👉 Bonne nouvelle : il existe aussi un outil simple, que vous avez sûrement déjà dans votre vie, mais que vous n’utilisez pas à fond. Et qui peut vous sauver des heures et des migraines.

Le problème : votre persona est devenu vintage

Quand vous avez créé votre offre, vous avez probablement défini un persona.

Un joli portrait-robot avec ses problèmes, ses envies, ses habitudes.

Souvent basé sur des hypothèses, validées à coups de 2-3 entretiens clients.

Le problème, c’est que le monde ne reste pas figé.

Le marché change
Les besoins se précisent
Et vous surtout, vous devenez plus affûté·e : vous comprenez mieux ce qui se joue vraiment chez votre client·e

Résultat : votre persona finit par être trop général.

Et ce qui vous semblait pertinent au début devient… plat.

Pas faux, mais pas assez précis pour vraiment « cliquer » avec votre cible.

Le verbatim : l’or brut de votre communication

Le verbatim, c’est simple : ce sont les mots exacts de vos client·es.

Pas vos reformulations. Pas vos interprétations.

Leurs phrases à elleux, sorties telles quelles de leurs bouches ou de leurs claviers.

Pourquoi c’est précieux ?

Parce que formuler un problème, c’est déjà le reconnaître. Et quand c’est dit avec leurs mots, ça percute direct dans le cœur et dans la tête.

C’est la différence entre dire :

“Vous ne savez pas quoi dire sur les réseaux ? «
et dire :
“ Vous avez 40 brouillons et aucun ne sonne vraiment “vous”.”

Deviner, c’est bien. Répéter ses mots exacts, c’est vendre sans forcer.

L'outil VERBATIM : votre coffre au trésor

Imaginez un tableau qui contient, noir sur blanc, toutes les pépites que vos client·es vous ont partagé.

Ce n’est pas juste un document. C’est un coffre au trésor.

Et il prend de la valeur à chaque nouvelle phrase que vous ajoutez.

Ça sert à :

Trouver une accroche percutante en 10 secondes
Répondre aux objections comme si vous lisiez dans ses pensées
Créer des offres qui se vendent presque toutes seules

Et en plus, c’est éthique : Vous ne créez pas des offres bullshit, juste pour ajouter du bruit. Vous répondez à une demande réelle, exprimée par vos client·es.

3 étapes pour créer votre outil VERBATIM

💡 Étape 1 – Choisir son support

Notion, Excel, carnet papier, Obsidian, appli Notes… peu importe. Ce qui compte, c’est que vous puissiez y accéder facilement.

J’utilise Notion avec un raccourci en widget sur mon téléphone pour ajouter rapidement du contenu.

💡 Étape 2 – Créer 6 catégories

Envies
Frustrations
Peurs
Grands rêves
Croyances (Les idées préconçues sur votre domaine, votre offre, vous ou même sur elle-même comme la peur d’échouer)
Références du quotidien

💡 Étape 3 – Alimenter au fil de l’eau

À chaque appel, chaque DM, chaque commentaire : notez la phrase exacte.

Pas une version polie. Pas votre version.
Ses mots, bruts.

Parce qu’une phrase brute, ça a 10 fois plus de puissance qu’une phrase retravaillée.

🔍 ZOOM SUR : la catégorie Références du quotidien

Les références du quotidien, ce sont ces petits repères qui prouvent que vous vivez dans son monde et que vous la comprenez vraiment.

Ça peut être :

Sa ville ou sa région : À la place de « parler dans le vide », essayez “Comme faire un speech place Bellecour… sans micro. ” (pour un·e lyonnais·)
Ses passions : “Un site web doit marquer des points rapidement comme un but à la 90e minute.”
Ses habitudes : “Tout est prêt dès le lundi matin, matcha à la main.”

Quand vous utilisez ces références, vous n’êtes plus “un·e vendeur·se qui lui parle”.

Vous devenez quelqu’un de son monde.

Et ça change tout.

Un exemple avec Marie, developpeuse web pour CEO de PME

Chaque phrase de votre outil VERBATIM peut se transformer en argument de vente ou en contenu.

Un coffre au trésor qui prend la poussière, ça ne sert à rien.

Si vous souhaitez apprendre à exploiter cet outil pour :

Vendre avec plus de fluidité
Gagner en visibilité avec vos contenus
Gagner du temps en rédaction de mails, page de vente ou contenu

C’est exactement ce qu’on travaille ensemble dans mes accompagnements avec mes client·es.

Parce qu’un bon outil de verbatims, c’est puissant… mais encore faut-il savoir quoi en faire.

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